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J'élève des chats Sacrés de Birmanie depuis 2008 au Pays de La Châtaigneraie en Sud Vendée sous deux affixes enregistrées auprès du LOOF : Maître Mâo et De Minna.

Tous mes chats sont inscrits au LOOF, certains participent à des expositions FIFe.



Le chat Sacré de Birmanie est non seulement beau mais il est aussi sensible et s'engage avec fidélité dans la relation avec son humain, répondant aux sollicitations qu'il perçoit avec justesse. Il est très intuitif pour ressentir nos émotions. Il a besoin de notre attention chaque jour et en retour il nous comble par son affection.


Le chat Sacré de Birmanie 


Documentation Issue de la Fédération Féline Française et du Cercle du Chat Sacré de Birmanie

Portrait

Le chat Sacré de Birmanie est un chat massif.

Son corps allongé a des pattes courtes et fortes, bien proportionnées.
Sa tête a une forte ossature, des joues pleines et rondes. Son front est légèrement bombé, son nez court et rond légèrement busqué (nez romain) ne doit pas être droit comme celui du Siamois, ni cassé (stoppé) comme celui du Persan. Ses moustaches sont longues et bien fournies. Ses grands yeux du bleu le plus intense possible ronds ou légèrement ovales sont envoûtants.

Sa fourrure a une texture soyeuse. Elle est très longue sur le dos et les flancs. Sur la face les poils sont courts, mais ils deviennent de plus en plus longs sur les joues avec une collerette abondante. La robe du chat Sacré de Birmanie possède les mêmes caractéristiques que celle du Siamois : la face, les oreilles, les pattes et la queue sont plus foncées que le reste du corps. Le reste est d’une teinte coquille d’œuf très claire. Le dos est beige doré, quelle que soit la couleur des points. Le ventre est blanc cassé.

La particularité du chat Sacré de Birmanie, ce sont ses pieds blancs appelés «gants», d’un blanc absolument pur, pouvant s’arrêter à la naissance des doigts ou monter jusqu’à l’articulation entre le pied et la jambe, qu’il ne doit pas dépasser. Aux pattes postérieures, ces gants se terminent en pointe sous le pied. L’absence d’éperons est éliminatoire pour les concours.

Sa queue moyennement longue, est bien fournie. Au repos, elle est tombante, mais elle est portée généralement haute et très souvent renversée en avant, comme celle des écureuils.


Origines


Le chat Sacré de Birmanie a des origines assez obscures.

Dérobé dans le temple de Lao Tsun, en Birmanie, le premier couple de ces chats aurait été apporté en France sur le yacht d’un milliardaire américain en 1920. Le mâle mourut pendant la traversée, mais la femelle Sita, qui heureusement avait été couverte, mit au monde une portée de chatons dont la femelle Seal point Poupée de Maldapour (premier affixe de Birman répertorié) fut présentée en 1926 à l’exposition de Paris organisée par le Cat Club de France et de Belgique et dont elle était la vedette. Malgré toutes les recherches, aussi bien en Birmanie qu’auprès des premiers éleveurs français, il est impossible de trouver une certitude sur cette origine. Feue Simone Poirier (chatterie de Crespières) pensait qu’étant donné que la sélection du chat Sacré de Birmanie avait été, dès le début, entourée du plus grand mystère, on pouvait faire beaucoup d’hypothèses. Par exemple, que l’éleveuse ou les éleveurs sont partis d’un hybride, un Siamois ganté de blanc, croisé avec une chatte à poil long, ou d’une hybride Siamoise angora accouplée avec un chat qui avait des petits gants blancs. Et ils ont gardé de leurs croisements un chaton sur dix : celui qui avait à la fois les marques siamoises, le poil long et les petits gants. On peut seulement conclure, en comparant les photos de Dieu d’Arakan, présenté avant 1930, et nos chats actuels, qu’il s’agit d’une véritable race originale, puisque depuis plus de 70 ans, les générations qui se sont succédées ont présenté les même caractères distinctifs. Pourtant après la dernière guerre, il ne restait qu’un couple Orloff et Xena de Kaaba dont descendent, ainsi qu’en témoignent les Livres d’Origines de la Fédération Féline Française, tous les chats de cette race existant actuellement dans le monde.



Au quotidien


Le Sacré de Birmanie est un chat robuste. Il s’adapte très bien à la vie d’appartement, mais si il a l’occasion de profiter d’un jardin, il ne boude pas son plaisir de chasser ou de se prélasser au soleil.

Il n’est pas très exigeant en ce qui concerne le toilettage, son poil mi-long est très soyeux donc ne s’emmêle pas : un brossage une fois par semaine pour éliminer les poils morts est suffisant, mais cela peut aussi être le petit moment d’intimité et de câlins. J’ai connu une Birmane qui savait où sa maîtresse rangeait la brosse et tous les matins, elle miaulait devant le tiroir pour être toilettée.


Traits de caractère


Le Sacré de Birmanie a un tempérament assez calme et posé, il n’est pas inactif pour autant. C’est un chat très joueur, il peut vous amener le plumeau pour vous faire comprendre qu’il est l’heure de jouer ! C’est un chat-chien, il vous suit partout (même aux toilettes) et n’aime pas que vous lui fermiez la porte au nez.

Il s’adapte à toutes les situations, vous pouvez l’emmener partout du moment qu’il est avec ses maîtres dont il est très proche tout va bien !

Le Birman aime bien parler, sa voix est douce et il sait se faire comprendre. C’est un chat très sensible, si vous avez du chagrin, il va le sentir et se blottir contre vous comme pour vous dire : ne t’inquiète pas, je suis là.

Il adore les enfants et cohabite très bien avec les chiens.



A savoir


Avec de l’amour, vous pouvez tout faire faire à un Birman. C’est un chat très intelligent et qui veut plaire à son maître. Soyez complice, parlez- lui en clignant des yeux et il vous montrera tout l’amour qu’il a pour vous.



Standard du chat Sacré de Birmanie


Corps :

Mi-lourd, allongé. Les mâles sontplus massifsque les femelles. Pattes courtes et fortes, bien proportionnées.

Tête :

Forte ossature, joues pleines et rondes. Front bombé, nez court et rond… Le nez ne doit pas être droit comme celui du siamois, ni cassé (stoppé) comme celui du persan. Une très légère dépression plutôt marquée par le poil, à la rencontre du nez et du front bombé. Moustaches longues et bien fournies. Pas de tête «persan».

Yeux :

Bleu soutenu, ronds ou légèrement ovales.

Robe :

Fourrure longue et mi-longue suivant les parties du corps. Elle est très longue sur le dos et les flancs. La texture en estsoyeuse. Sur la face les poils sont courts, mais ils deviennent de plus en plus longs sur les joues. Collerette abondante.

Couleur :

Le chat sacré de Birmanie possède lesmêmes caractéristiquesque le Siamois sur la face, les oreilles, les pattes et la queue. Elles sont brunes (seal point) ou bleu-gris (blue point). Le reste de la robe est d’une teinte coquille d’œuf très claire. Le dos est beige doré, même chez le blue point. Et le ventre est blanc.

Gantage :

La particularité du chat sacré de Birmanie, ce sont ses pieds blancs, appelés «gants». Blanc absolument pur, pouvant s’arrêter à la naissance des doigts ou monter jusqu’à l’articulation entre le pied et la jambe, qu’il ne doit pas dépasser. Aux pattes postérieures, le blanc se termine en pointe sous le pied. L’absence de ces pointes estéliminatoirepour leCAC (Certificat d’Aptitude au Championnat)

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Quelques exceptions peuvent être admises pour des «gants» très légèrement plus hauts aux pattes arrières, cas assez fréquent.

L’important dans le gantage c’est larépartition régulière et symétriquedes gants, soit entre les deux pattes avant, d’une part, et les deux pattes arrière d’ autre part, soit, ce qui est encore mieux, le blanc réparti absolument également aux quatre pattes. Les taches blanches dans les parties brunes entraînent la disqualification. Les sujets présentant cette tare ne doivent pas être employés pour la reproduction.

Queue:

La queue moyennement longue, présente uneforme élégante: mince à la naissance, étoffée à l’extrémité. Au repos, elle est tombante, mais elle est portée généralement haute et très souvent renversée en avant, comme celle des écureuils. Elle ne doit comporterni cassure ni nœud.

Ce standard, comme ceux des autres races, présente lesmesures idéales. Les chats parfaits sont exceptionnels, mais les défauts sont plus apparents chez le birman en raison des marques blanches qui sont visibles au premier coup d’œil. Il faut donc sélectionner les chats présentant la plus grande régularité, le plus grand équilibre dans le rapport entre les » gants «, mais sans oublier les autresqualités d’ensemble. Ce qui fait la beauté d’un Sacré de Birmanie, c’est l’harmonie de cet ensemble.



Documentation Issue de la Fédération Féline Française et du Cercle du Chat Sacré de Birmanie